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Commemorating Assassinations and Celebrating 30 Years of the MBF

#Blog#Defensa de los derechos humanos
octubre 2019

Meredith Hawkins

On November 21, 2019, the Boston College Center for Human Rights and International Justice (CHRIJ) and the Ignacio Martín-Baró Fund (MBF) for Mental Health and Human Rights co-hosted the 30th anniversary commemoration of the assassination of the martyrs of El Salvador. The event featured testimonies from Joan Liem, committee member of the Fund and Professor Emerita of Psychology at UMass Boston; Massachusetts 2nd District Congressman Jim McGovern; Walberto Tejeda, a representative from Centro Bartolomé de las Casas in El Salvador; a video greeting from Carlos Martín-Baró, brother of Ignacio Martín Baró, SJ; Boston College Lynch School Professor of Community Cultural Psychology, M. Brinton Lykes, co-founder of the MBF, co-director of the Boston College CHRIJ; Chung-Wha Hong, Executive Director of Grassroots International; and Professor Catherine M. Mooney, BC School of Theology and Ministry and longtime member of the MBF committee.

At thirty years, the Ignacio Martín-Baró Fund for Mental Health and Human Rights has raised over one million dollars in funding for grassroots projects around the world that engage in work that mirrors and carries on the legacy of the organization’s namesake. Words from Ignacio’s, “Nacho’s,” brother describing the Fund sum up the general theme of the anniversary commemoration event quite well. He said that the work of the Fund is serving to represent “la voz de Nacho adelante”’ or “the voice of Nacho moving forward.” This sentiment was brought forth by Congressman McGovern as well in his reflection of his time in El Salvador and the difficulty he has faced in coming to terms with the U.S. involvement in the violence, both historically and today, through his advocacy work as a government official and representing the voices of the people of the U.S. Despite the pervasive indications that history may be repeating itself through the United States’ oppressive immigration policies towards Central American migrants or its violent war on drugs, he noted that those who support the MBF have served – and must continue to serve – as a reminder to the Salvadoran people, and to survivors of mass atrocities everywhere, that there is still hope in this world.

The 30th anniversary event featured stories of Nacho’s personal and professional accolades and philosophies from his friends and colleagues all while highlighting the Fund’s sustained commitment to the oppressed and to those who live Nacho’s understanding of the need to “liberate psychology” toward creating “a new person and a new society”. Walberto Tejada, a representative from one of the Fund’s partners in El Salvador, Centro Bartolomé de las Casas (CBC), spoke about the embodied legacy of Nacho through the work and mission of CBC and its commitment to achieving social justice through first advocating for gendered justice and a sustained ideological praxis of accompaniment and critical reflection.

In partnering with organizations that foster wellbeing and critical social psychology through activism and accompaniment, the Martín Baró Fund for Mental Health and Human Rights has maintained its roots in liberation psychology through walking with the popular majority against systems of oppression. The Jesuits embodied their faith through living intentionally through action and activism in the face of extreme oppression beneath the Salvadoran oligarchy. The Fund maintains this call to action and advocacy for human rights and community wellbeing through the accompaniment of grassroots organizations fighting for those harmed by political repression, structural violence, and social injustice around the world.

It was the hope of Nacho, and remains the hope of the Fund today as it transitions to an Initiative at Grassroots International, that through the fostering of psychosocial wellbeing and the pursuit of social reparations, society can begin to heal from its painful past and move towards a more equitable future.

Le 21 Novembre, 2019, le Centre pour les Droits de l’Homme et la Justice Internationale à Boston College (CHRIJ) et le Fond de l’Initiative de Martín-Baró (MBF) pour la Santé Mentale et les Droits de l’Homme ont co-présenté la trentième anniversaire commémoration de l’assassinat des martyres de Salvador. L’événement a inclus des témoignages de Joan Liem, membre de la comité de la fond et Professeur de psychologie à UMass Boston; membre de Congrès dans la deuxième région en Massachusetts Jim McGovern; Walberto Tejeda, un representant venant de Centro Bartolomé de las Casa en Salvador; une bienvenue sur une vidéo de Carlos Martín-Baró, le frère d’Ignacio Martín-Baró, SJ; Professeur Brinton Lykes, une Professeur de psychologie communauté-culturel à Boston College École de Lynch, et cofondatrice de MBF et CHRIJ; Chung-Wha Hong, Directrice Exécuteur de Grassroots International; et Professeur Catherine M. Mooney, BC École de Théologie et Ministre et membre de la comité de MBF.

À trente ans, l’Initiative de Martín-Baró pour la Santé Mentale et les Droits de l’Homme a collecté plus d’un million de dollars pour financer les projets de base autours du monde qui engagent en travail qui reflet et continue l’héritage de l’homonyme de l’organisation. Les mot du frère de Ignacio (le surnom d’Ignacio étant ‘Nacho’) décrit bien le thème général de la commémoration anniversaire. Il a dit que le travail du fond sert de représenter “la voz de Nacho adelante” ou “la voix de Nacho marchant en avant”. Ce sentiment a été continué par le membre de congrès, McGovern, par son réflection de son temps en Salvador et sa difficulté en se fait face à l’implication des États-Unis dans la violence, ainsi que historiquement et à présent, à travers son travail de promotion comme un officier du gouvernement et en représentant les voix du peuple Américain. Malgré les indications que l’histoire pourrait être en répète par les politiques d’immigration oppressive vers les migrants venant de l’Amérique Centrale ou la guerre violente contre les drogues, McGovern a noté que ceux qui soutiennent le MBF avaient servi – et devraient continuer à servir – comme un rappel au peuple Salvadoran, et aux survivants des atrocités autour du monde, qu’il y toujours de l’espoir dans ce monde.

La trentième anniversaire événement a inclus des histoires des distinctions, professionnel et personnel, de Nacho et les philosophes venant de ses amis et collègues tout autant souligner l’engagement soutenu de la Fond envers les opprimés et ceux qui vivre la compréhension de Nacho de la besoin de “libérer psychologie” vers créant “une nouvelle personne et une nouvelle société”. Walberto Tejeda, un représentant venant d’une des partenaires du Fond en Salvador, Centro Bartolomé de las Casas (CBC), a parlé de l’héritage incarné de Nacho à travers le travail et la mission de CBC et son engagement pour accomplir la justice sociale à travers la recommandant d’un justice genré et un pratique idéologique soutenu de l’accompagnement et la reflection criticale.

En partenariat avec les organizations qui promouvoir le bien-être et la psychologie sociale criticale à travers l’activisme et l’accompagnement, Le Fond de Martín-Baró pour la Santé Mentale et les Droits de l’Homme avait soutenu les racines de psychologie de libération par marchant avec le peuple majoritaire contre les systèmes de l’oppression. Les Jésuites ont incarné leur foi par vivant intentionnellement à travers l’action et l’activisme en face de l’oppression extrême sous l’oligarchie Salvadoran. Le Fond soutient cet appel vers l’action et l’engagement pour les droits de l’homme et le bien-être de la communauté par l’accompagnant des organizations en base qui battent pour ceux qui sont plus blessés par la répression politique, la violence structurelle, et l’injustice sociale autours du monde.

C’était l’espère de Nacho, et cela reste l’espoir du Fond aujourd’hui dans la transition à Grassroots International, qu’à travers le promouvant de bien-être psycho-sociale et la poursuite de la réparation sociale, la société peut commencer à guérir de l’histoire douloureux et bouger vers un avenir plus équitable.

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